jeudi 3 avril 2014

Bilan de gueuldeub du pot de ma boss

Hier soir, pot avec le boulot. Cruella a été promue (même si ça paraît injuste au pays de l’injustice et qu’il semblerait que notre employeur ne se rende pas compte qu’elle est plus cruelle que la cruauté faite femme) et, seule réjouissance à l’horizon pour nous, ses petits esclaves du stalag : le boulot a payé un pot.
Par « payer un pot », comprenez champagne et fanfreluches !!! Des bouteilles et des bouteilles et encore des bouteilles. Des petits fours DI-VINS. Par milliers.
Je m’en suis donnée à cœur joie. J’ai tout mangé. Tout bu.
J’ai fini la soirée à refaire le monde avec trois collègues en oubliant la moitié des mots. Et des consonnes. Heureusement car je ne faisais que dire du mal de Cruella.

Ce matin, je suis bouffie, je sens le champagne (dont j’ai d’ailleurs toujours le goût à la bouche, même si je me suis lavée 17 fois les dents), j’ai envie d’une plâtrée de pâtes carbo (depuis 7h du mat’) et d’un coca-surtout-pas-zéro.

Aujourd’hui, j’ai donc décidé de ne rien foutre et d’attendre la faucheuse. En hoquetant.


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