Hier
soir, pot avec le boulot. Cruella a été promue (même si ça paraît injuste au
pays de l’injustice et qu’il semblerait que notre employeur ne se rende pas
compte qu’elle est plus cruelle que la cruauté faite femme) et, seule
réjouissance à l’horizon pour nous, ses petits esclaves du stalag : le
boulot a payé un pot.
Par
« payer un pot », comprenez champagne et fanfreluches !!! Des
bouteilles et des bouteilles et encore des bouteilles. Des petits fours
DI-VINS. Par milliers.
Je
m’en suis donnée à cœur joie. J’ai tout mangé. Tout bu.
J’ai
fini la soirée à refaire le monde avec trois collègues en oubliant la moitié
des mots. Et des consonnes. Heureusement car je ne faisais que dire du mal de
Cruella.
Ce
matin, je suis bouffie, je sens le champagne (dont j’ai d’ailleurs toujours le
goût à la bouche, même si je me suis lavée 17 fois les dents), j’ai envie d’une
plâtrée de pâtes carbo (depuis 7h du mat’) et d’un coca-surtout-pas-zéro.
Aujourd’hui,
j’ai donc décidé de ne rien foutre et d’attendre la faucheuse. En hoquetant.
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